Règlement Administratif 2025 :
Véritable nation sportive, la gouvernance de la Formule 1 se réserve le droit de ne pas inscrire au championnat les équipes et pilotes qui ne répondent pas à tout un tas de contraintes administratives. Selon la Fédération Internationales de l'Automobile, les formalités à remplir sont les mêmes depuis 2011, et seront donc identiques (jusqu'à nouvel ordre) pour les saison 2025 et 2026.
Règlement Financier 2025 :
L'introduction des budgets plafonnés, bien que le plafond en question soit plutôt haut, s'accompagne d'un règlement complexe, afin de développer toutes les particularités de ces restrictions financières. Par exemple, le salaire des 2 pilotes ainsi que des 3 employés les mieux rémunérés de chaque équipe sont exclues de ces limites. Les équipes concevant leurs propres groupe propulseur tournent avec environ 1 500 employés (dont 500 au département motorisation). Les quelques membres visibles sur le muret des stands lors des week-end de course ne représentent ainsi que la partie visible de l'iceberg.
Règlement Sportif 2025 :
Les "règles du jeu" de la Formule 1 : déroulement d'un week-end de course, attribution des points, système de pénalités, drapeaux, procédure de départ, allocation des gommes et contraintes stratégiques liées, point de détection du système d'ouverture de l'aileron arrière (modification de ce concept en 2026), régime du sefty car ainsi que le rôle du directeur de course, course sprint, etc. Les 10 premiers à l'arrivée d'une courses marquent des points (respectivement 25, 18, 15, 12, 10, 8, 6, 4, 2 et 1 point) tandis que les 8 premiers à l'arrivée d'une course sprint se voient récompensés (respectivement 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2 et 1 point).
Règlement Technique 2025 :
Le règlement technique stipule les condition de recevabilité de l'inscription d'une monoplace à une épreuve ( exemple : dimensions de la monoplace), les quotas de groupes propulseurs (nombre d'ensemble moteur + boîte de vitesse alloués sur une saison) à respecter, les conditions de disqualification (exemple : 1 litre minimum d'essence dans le réservoir). Ce règlement implique la responsabilité des équipes davantage que celles des pilotes. Les capteurs permettent aux ingénieur de demander au pilote de changer de cartographie moteur, mais le pilote ne gère pas sa consommation d'essence "seul".
Michaël Papa
La saison 2026 de F1 s'accompagne de nouveaux règlements... à découvrir sur CleanAir !