Red Bull : les ailes brûlées d’Horner
Quand la Formule 1 se transforme en télénovela, le paddock vibre plus pour les potins que pour la pole. Retour, en quelques virages serrés, sur l’affaire qui a fait trembler Milton Keynes. Et pour les amateurs de drama bien secoué, la vidéo complète est juste en dessous, prête à être dégustée.
Début 2024, une employée (anonymisée façon « Elmuta Markita ») accuse Christian Horner de harcèlement. Red Bull enquête, blanchit son boss… jusqu’à ce qu’un Google Drive sauvage atterrisse dans les boîtes mail du paddock. À l’intérieur : des sous-entendus gênants, des échanges embarrassants et une fameuse photo d’un doigt dont on espère pour tout le monde qu’il était bien à lui. Pas criminel, mais bien suffisant pour lancer le Hornigate. Les clans s’entre-déchirent : les Thaïlandais soutiennent Horner, les Autrichiens se rangent derrière le duo Helmut Marko–Verstappen. La disparition en 2022 du fondateur Dietrich Mateschitz avait déjà fragilisé l’équilibre, laissant remonter rancunes et querelles vieilles comme des pneus pluie. Marko, menacé, abat sa carte secrète : son contrat serait lié à celui de Verstappen. Pendant ce temps, Horner s’acharne à imposer Ricciardo, se brouille avec Lawson, et finit par perdre Verstappen, qui déclare publiquement sa fidélité uniquement à son père… et à Marko, pas à « Captain WhatsApp ». Les départs s’enchaînent : Adrian Newey part écœuré, Jonathan Wheatley file chez Audi, la RB20 peine à cacher ses failles. Même Perez admet que la voiture a plus de défauts qu’une stratégie Ferrari. Avec un transfert discret de 2 % du capital, les Autrichiens reprennent la main et Horner est débarqué de Red Bull Racing. Mais pas totalement viré… une porte reste entrouverte pour le futur.
Une histoire d’égo, de doigts et de stratégies mal réglées : le Hornigate a plus d’épisodes qu’un Grand Prix sous drapeau rouge. Pour savourer chaque virage de ce feuilleton, regardez la vidéo complète ci-dessous.
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