Ocon & Müller : un duo soudé, des détails bien vérifiés et des vitamines à volonté
Entre Ocon et Laura Müller, c’est du sérieux… mais pas au point de finir sur Tinder. On dirait presque une comédie romantique, sauf qu’ici les disputes se règlent avec un tournevis, pas avec des textos.
Esteban Ocon:
« Laura travaille très dur. Je travaille très dur avec elle pour m’assurer que nous sommes aussi optimisés que possible pour tout le week-end. C’est fantastique de travailler avec elle et de mon côté du garage, Laura dirige beaucoup de gens. (…) Elle ne compte pas les heures. Elle est très attachée aux détails, comme moi. Il m’arrive d’être très dur sur les petits détails, de vérifier deux fois les choses. (…) Si Laura pense que je peux améliorer telle ou telle chose, elle me le dira. Si je pense qu’elle peut améliorer telle ou telle chose, je le lui dirai. Il n’y a pas de jugement parce que nous sommes dans le même bateau et nous devons aller de l’avant. (…) Nous devons prendre soin les unes des autres tout au long de l’année, car la saison est longue. (…) Nous avons veillé à ce qu’elle prenne les bonnes vitamines et tout ce qu’il faut pour qu’elle puisse tenir jusqu’à la fin du week-end. »
On sent qu’Ocon et Laura forment un duo plus soudé que le capot d’une Haas après un crash. Lui perfectionniste, elle acharnée, ça sent la complicité… et la vitamine C à chaque doublé. Il la décrit comme « attachée aux détails » : on imagine les débriefings qui durent plus longtemps qu’un GP de Monaco sous drapeau rouge. Et puis, cette franchise sans jugement entre eux, c’est plus rare qu’un podium d’Alpine en 2025. Finalement, ils bossent tellement en symbiose que même la voiture doit être jalouse.
Dans la vie comme en F1, mieux vaut une Laura qui bosse qu’un lauréat qui roupille. Et n’oubliez pas : même dans un paddock, l’amour du détail peut faire chauffer les pneus… et les cœurs.

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